Le laboratoire ACM se distingue par une recherche en dermatologie portée par la collaboration entre experts et patients, afin d’obtenir des produits efficaces qui répondent à des besoins réels et améliorent la qualité de vie. Entretien avec Christelle Robert, pharmacienne, directrice générale d’ACM.
Comment la devise du laboratoire, « L’humain au cœur de la dermatologie », se traduit-elle concrètement ?
Cette signature est évidente pour nous, car elle incarne le quotidien du laboratoire et guide chacune de nos décisions. Notre credo, c’est, avant tout, écouter avant d’agir. Nous sommes à l’écoute des associations de patients, des dermatologues, des pharmaciens, de nos collaborateurs… Nous avons la chance d’être un laboratoire à taille humaine et d’avoir une proximité avec chacun de nos partenaires pour mieux comprendre leurs attentes. La dermatologie ne se résume pas qu’à un soin de la peau, c’est aussi s’intéresser au bien-être du patient, à celui de son entourage et améliorer la qualité de vie.
De quelle façon obtenez-vous la remontée d’informations du terrain au laboratoire ?
Notre réseau de délégués médicaux et pharmaceutiques échangent quotidiennement avec les professionnels de santé et ces informations sont transmises régulièrement à nos équipes de R & D. Nous travaillons également avec des experts dermatologues internationaux afin de mieux connaître l’expression de diverses pathologies cutanées dans le monde et les besoins exprimés en fonction des différents types de peau. Nous interrogeons aussi régulièrement des communautés de patients qui nous donnent leur avis sur les produits. Ce retour du terrain permet de nourrir l’innovation et d’ajuster les formulations au plus près des attentes des patients.
Quelle est votre vision de l’accompagnement du patient dans son parcours dermatologique ?
Notre première mission est, bien sûr, d’apporter des produits efficaces et de qualité que nous distribuons exclusivement en pharmacie. ACM est l’une des marques les plus médicales de la dermatologie (nous avons notamment un dispositif médical pour traiter le molluscum contagium). Toutes les allégations sont prouvées cliniquement, testées sur tous les phototypes de peau et les protocoles des études cliniques sont définis avec les experts. Forts de cette compétence, nous pouvons soulager de nombreuses pathologies cutanées. Mais l’impact du soin va au-delà de la peau et il doit permettre de redonner au patient un confort de vie et la confiance en soi. Pour les mesurer, ACM a mis au point un indice de qualité de vie bien spécifique, qui s’intéresse à l’évaluation des bénéfices sur le plan émotionnel, physique et social.
Quelles sont les dernières innovations ?
Nous sommes leader en prescription médicale des soins qui ont un impact sur la pigmentation : hyper- et hypo pigmentation. La gamme de soins Dépiwhite, conçue pour traiter toutes les taches, grâce à un activateur breveté de biodégradation de la mélanine, s’est récemment étoffée avec Dépiwhite Sérum. Cette innovation va cibler les principales voies responsables de l’hyperpigmentation découvertes par le Pr Passeron, pour réguler la mélanogénèse au-delà du mélanocyte. De plus, nous avons mis en évidence un autre pigment, la lipofuscine. Dépiwhite sérum permet ainsi une correction complète et profonde de toutes les taches sur tous les phototypes. L’autre nouveauté, la crème Azéane, qui contient 15 % d’acide azélaïque, s’attaque aux marques brunes, au teint terne, aux rougeurs et autres imperfections. Azéane incarne bien l’ADN du laboratoire : nous avons remis au goût du jour, grâce à une galénique cosmétique, un actif médicamenteux qui avait fait ses preuves pour favoriser son observance. Dans l’hypopigmentation, le laboratoire est partenaire de l’Association française du Vitiligo afin d’améliorer la qualité de vie des personnes touchées (gel correcteur de teint et gel régulateur) et de sensibiliser le public. Enfin, ACM est également bien connu pour ses compléments alimentaires et produits contre la chute des cheveux.
Propos recueillis par Christine Fallet
Photo : © Marine Bourguet – ACM / DR
Article extrait du dossier Grand Angle spécial Dermatologie réalisé par CommEdition, parution dans Le Monde daté du 3 décembre 2025.
