Et s’il était possible d’éviter un infarctus ou un AVC ?

Ensemble, mobilisons-nous pour faire baisser la deuxième cause de mortalité en France : les événements neuro-cardio-vasculaires.

Nous connaissons tous dans notre entourage une personne victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d’un infarctus du myocarde. Nous avons tous déjà été témoins des conséquences que peuvent avoir de tels évènements. Pourtant, peu de personnes ont conscience de leur caractère généralement évitable.

Aujourd’hui encore, la prévention de ces événements neuro-cardio-vasculaires représente un enjeu majeur de santé en France. Les chiffres parlent d’eux-mêmes  : chaque année 140 000 décès sont dus à ces événements neuro-cardio-vasculaires. Nous parlons ici de la deuxième cause de mortalité chez l’homme et de la première cause de mortalité chez la femme. Pourtant, ces chiffres ne sont pas une fatalité et nous avons le devoir, tous ensemble, de les faire baisser. Cela est aujourd’hui possible grâce à la mobilisation de tous les acteurs en contact avec les personnes à risque et à une sensibilisation sans relâche. Nous ne pouvons que saluer le travail des pouvoirs publics, des professionnels de santé et des associations de patients qui sensibilisent déjà les Français aux différents facteurs de risque (tabac, alcool, hypertension, alimentation…) au travers de campagnes de prévention telles que « Manger, bouger ».

Nous sommes aussi convaincus que ces dispositifs peuvent être complétés en ciblant d’autres facteurs de risque, mal connus, pouvant conduire eux aussi à des événements neuro-cardio-vasculaires. A titre d’exemple, l’hypercholestérolémie (élévation du taux de cholestérol dans le sang), bien qu’invisible, est un facteur de risque important qui concerne plus de 10 millions de français ; elle est à l’origine d’un infarctus sur deux. Parmi eux, une population est encore plus à risque, celle atteinte d’hypercholestérolémie familiale (270 000 personnes en France).

La situation est préoccupante, mais une prise en charge de ce facteur de risque, grâce notamment à un changement dans les habitudes alimentaires et à la pratique plus régulière d’une activité physique, pourrait permettre de réduire le nombre d’événements.

Chaque année 140 000 décès sont dus à ces événements neuro-cardio-vasculaires. c’est la deuxième cause de mortalité chez l’homme et de la première cause de mortalité chez la femme.

Les efforts de prévention ne doivent pas s’arrêter à la survenue d’un événement.

Au contraire, il convient d’aller plus loin et de prévenir aussi la survenue d’un second incident neuro-cardio-vasculaire. Les personnes ayant été victimes d’un premier événement redoutent plus que tout d’en subir un second. Mais bien souvent, elles se sentent démunies face à cette épée de Damoclès au-dessus de leur tête.

Les actions de sensibilisation et de prévention sur les facteurs de risque – y compris l’hypercholestérolémie –, doivent aussi s’adresser à ces patients. Informer sans relâche les patients et leurs proches est essentiel pour faire reculer le nombre d’événements neuro-cardio-vasculaires et réduire le risque de récidive.

Pour gagner en efficacité, nous devons agir collectivement, acteurs publics, professionnels de santé, associations de patients, experts du secteur pharmaceutique, patients et proches. En nous engageant, nous pouvons faire la différence et faire réellement évoluer la prise en charge des seconds événements neuro- cardio-vasculaires. Ensemble, nous avons la possibilité de développer des solutions adaptées, qui prennent en compte tous les facteurs de risque, pour tous les patients ayant déjà subi un premier événement neuro-cardio-vasculaire.

Face à ce grand défi de santé, Novartis et les associations de patients Anhet.f et Alliance du Cœur allient leurs expertises dans l’objectif de permettre à tous les patients de bénéficier de la meilleure prise en charge et du meilleur accompagnement possibles.

Aujourd’hui, nous nous mobilisons pour faire évoluer la prise en charge des victimes d’un événement neuro-cardio-vasculaire. Nous souhaitons que ce mouvement s’élargisse et prenne de l’ampleur pour déboucher sur un véritable plan national de prévention et de sensibilisation. Avec un objectif  : réduire le nombre et la mortalité des événements neuro-cardio-vasculaires.

Novartis,

Anhet.f,

Alliance du Cœur

Article extrait du dossier Grand Angle spécial Cardiologie réalisé par CommEdition, parution dans Le Monde daté du 29 septembre 2022.

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